L’équipe des urgences de gynécologie et d’obstétrique vous accueille et s’engage à vous offrir des soins de qualité et à rendre votre attente acceptable.
Composée de médecins, sages-femmes, infirmières et aides-soignantes, elle intervient 24h/24 et 7j/7.
Elle dispose de huit salles de consultation, dont une, dotée de trois lits, dédiée aux surveillances.

Pour en savoir plus...

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Appelle impérativement l’Hôpital des enfants si :

• ton plâtre se casse, blesse ou irrite ta peau, dégage une odeur nauséabonde ou qu’il est devenu trop grand (le membre bouge à l’intérieur)
• tu sens un point d’appui localisé dans le plâtre ou qu’un petit objet est resté coincé dedans
• de fortes douleurs persistent malgré la surélévation du membre fracturé et la prise d’antidouleurs aux doses prescrites
• tu n’arrives plus à bouger les doigts ou les orteils, ou s’ils présentent des fourmillements, sont engourdis, froids ou de couleur bleue ou blanche (normalement, ils sont roses)
• tu as de la température (+ de 38,5 °C), des frissons, des nausées, des douleurs dans la poitrine ou que tu es essoufflé.

Qui contacter en cas de problème ou d’urgences ?

La salle des plâtres, du lundi au vendredi, de 7h30 à 19h,
Tél : 022 372 46 54
Le service d’orthopédie, ouvert 24h/24 et 7jours/7,
Tél : 022 372 47 71

Tu peux aussi te rendre directement aux urgences pédiatriques, ouvertes 24h/24 et 7jours/7, au 47, avenue de la Roseraie 1205 Genève.

Quelques conseils pratiques

• Protège le plâtre avec un sac plastique quand tu prends une douche.
• Ne prends pas de bain tant que tu as ton plâtre.
• Lave chaque jour les doigts ou les orteils du membre plâtré.
• Ne mets pas de vernis à ongle.
• Pour t’habiller, commence par le plâtre.
• Pour te déshabiller, termine par le plâtre.

• Anesthésie
• Chirurgie
• Médecine
• Pédiatrie
• Simulation
• Urgences

• Holcomb JB, Dumire RD, Crommett JW, Stamateris CE, Fagert MA, Cleveland JA, Dorlac GR, Dorlac WC, Bonar JP, Hira K, Aoki N, Mattox KL
  Evaluation of trauma team performance using an advanced human patient simulator for resuscitation training
  J Trauma 2002 Jun;52:1078-85; discussion 1085-6

• Shapiro MJ, Morey JC, Small SD, Langford V, Kaylor CJ, Jagminas L, Suner S, Salisbury ML, Simon R, Jay GD
  Simulation based teamwork training for emergency department staff: does it improve clinical team performance when added to an existing didactic teamwork curriculum ?
  Qual Saf Health Care 2004 Dec;13:417-21

• Bond WF, Deitrick LM, Arnold DC, Kostenbader M, Barr GC, Kimmel SR, Worrilow CC
  Using simulation to instruct emergency medicine residents in cognitive forcing strategies
  Acad Med 2004 May;79:438-46

• Olsen JC, Gurr DE, Hughes M
  Video analysis of emergency medicine residents performing rapid-sequence intubations
  J Emerg Med 2000 May;18:469-72

Ablation de la vésicule sans endoscopie

Chaque année, 500 patients sont admis aux urgences des HUG pour un problème de vésicule biliaire. Ils se présentent la plupart du temps avec des douleurs abdominales aiguës et des calculs dans la vésicule biliaire visibles à l’échographie. Habituellement, la prise en charge de ces patients se fait d’abord par une endoscopie afin de visualiser les éventuels calculs bloqués dans la voie biliaire, puis l’ablation de la vésicule est pratiquée dans un deuxième temps. 

Dans une étude publiée par le Journal of the American Medical Association et récompensée par le Prix 2015 de la recherche clinique, l’équipe du Dr Pouya Iranmanesh et du Pr Christian Toso, du service de chirurgie viscérale, a comparé la prise en charge classique avec une nouvelle procédure consistant à procéder directement à l’ablation de la vésicule biliaire sans endoscopie préalable. Conclusion ? Les patients restent moins longtemps à l’hôpital sans préjudice pour leur santé et cela supprime des examens inutiles.

Hausse du nombre de cas

Consulter un service d’urgence devient un réflexe. En 2015, le nombre total des cas accueillis dans les différents services d’urgences des HUG a progressé de 5% : il s’élève à 64’525 patients adultes et 27’049 enfants.

Du côté de la pédiatrie, la progression dépasse même les 10%. Elle est due à deux phénomènes :

• le recours aux urgences les soirs et weekends par des parents qui n’obtiennent pas de rendez-vous en ville après leurs horaires de travail
• le tri efficace et le système de rappels par SMS introduit par les HUG qui améliorent la perception de l’attente chez les parents.
   

Une urgence toutes les 6 minutes

Diminution des délais

Malgré cette hausse constante de l’activité, le délai de prise en charge a sensiblement baissé. Chez les adultes comme chez les enfants, les urgences les plus graves continuent d’être prises en compte quasiment sans attente.

Pour les urgences adultes non vitales, les délais de prise en charge ont baissé de moitié entre 2014 et 2015 et se situent entre 5 et 28 minutes selon la gravité. Ce résultat a été obtenu par la conjugaison de plusieurs mesures :

• élargissement des horaires des plateaux d’imagerie
• ajout de boxes supplémentaires de consultation
• amélioration des transferts des patients dans les étages
• enregistrement et tri infirmier plus rapide.

En pédiatrie, ces délais ont baissé de moitié entre 2010 et 2014. Pour une urgence non vitale, il faut patienter entre 12 et 22 minutes, selon la gravité, pour voir un médecin.
 

Guide web réactualisé

www.monenfantestmalade.ch

 

Ce guide pratique répond à toutes les questions des parents : quelle est cette maladie ? comment soigner mon enfant ? faut-il aller aux urgences ? En plus des maladies, il détaille les accidents du quotidien, les gestes qui sauvent, les signes d’alerte qui doivent amener à consulter un médecin en urgence. 

 

Entièrement revu en 2015 et étoffé, le site s’appuie sur le livre Allô docteur mon enfant est malade, rédigé par les Prs Annick Galetto-Lacour et Alain Gervaix. Il fournit 113 fiches de conseils précieux.

En 2014, les HUG ont défini cinq grandes ambitions d’amélioration de la qualité et les ont affirmées dans la brochure La qualité – 5 ambitions, 1 socle d’engagements. Dans la continuité de ces projets d’«objectifs qualité», les HUG entendent compléter la démarche, en posant un cadre clair quant aux objectifs prioritaires de l’excellence clinique et en mettant en œuvre des outils de mesure. D’autre part, ils veulent encourager, accompagner et valoriser les actions et démarches qualité au niveau des équipes.

Action 03.1 : Rechercher l’excellence clinique

Les HUG s’engagent à préciser les objectifs prioritaires dans le domaine de l’excellence clinique, ainsi qu’à définir des indicateurs de performance et des outils de comparaison avec des hôpitaux de référence.

Des indicateurs cliniques nécessaires à l’évaluation des projets retenus seront développés, en exploitant, dans la mesure du possible, les données du système d’information des HUG. Des outils facilitant la traçabilité et la sécurisation des identités seront déployés.

Action 03.2 : Stimuler une culture de la qualité

La culture de la qualité s’acquiert, s’enseigne et se transmet. Elle s’appuie sur une sensibilisation régulière des collaborateurs. Dans cet esprit, les démarches qualité seront valorisées dans les équipes par le biais de deux actions principales :

• Lancer un appel à projets d’excellence clinique ou d’amélioration de la qualité adressé aux équipes de terrain, afin d’encourager chacun à identifier et à mettre en œuvre des projets d’amélioration en puisant dans sa pratique professionnelle. Un comité sélectionnera les projets les plus prometteurs et contribuera à faciliter leur concrétisation, notamment dans le cadre du projet stratégique Collaborateurs acteurs. Les résultats seront évalués et communiqués à l’ensemble des collaborateurs, avec l’objectif d’inciter chacun à s’engager dans cette démarche.

• Lier les activités de formation continue des collaborateurs aux projets d’amélioration de la qualité.

Action 03.3 : Diminuer l’attente aux urgences

L’ambition particulière de diminuer l’attente aux urgences a déjà porté ses fruits grâce à un certain nombre de mesures, telles que l’admission de patients à l’Hôpital des Trois-Chêne jusqu’à 22h, l’hospitalisation 24h/24 en médecine interne générale permettant à des patients accueillis aux urgences de rejoindre, même en pleine nuit, une chambre dans les étages, la création d’un véritable guichet d’accueil, le déploiement du dossier du patient informatisé aux urgences, l’élargissement des horaires d’ouverture des scanners et du bloc opératoire ou encore l’installation d’un plateau de radiologie à l’Hôpital des Trois-Chêne pour éviter le transfert aux urgences de certains patients.

Pour continuer dans cette dynamique malgré l’augmentation du nombre de cas, les HUG s’engagent à diminuer de moitié le délai de prise en charge aux urgences en mettant en œuvre un programme de dix mesures qui ont été définies précisément.

ACTUALITE : Joli-Mont et Montana : le patient gagnant
INVITE : Rosette Poletti parle des proches aidants
DOSSIER cancer : Une bataille sur tous les fronts
JUNIOR : C’est quoi l’obésité ? 
VECU : « Je me concentre sur l’essentiel »

A côté des approches conventionnelles, l’arsenal anti-cancer intègre désormais l’immunothérapie et les traitements ciblés. Le soutien du patient tout au long de son parcours est capital.

Ce mois-ci au sommaire :

ACTUALITE : Joli-Mont et Montana : le patient gagnant
INVITE : Rosette Poletti parle des proches aidants
DOSSIER cancer : Une bataille sur tous les fronts
JUNIOR : C’est quoi l’obésité ? 
VECU : « Je me concentre sur l’essentiel »

Pour lire les articles

Depuis le 1er novembre 2016, les HUG ont ouvert une nouvelle structure d'urgences gériatriques à l'Hôpital des Trois-Chêne pour les urgences non vitales.

• Ouvertes 7 jours sur 7
• De 8h à 19h
• Pour les urgences non vitales et sans traumatisme
• Pour les personnes de 75 ans et plus
• Tél. durant les heures d'ouverture 022 305 60 60

En cas d'urgence vitale, contacter le 144. 

Le projet en bref

InfoAdults est la contrepartie aux urgences adultes d’InfoKids. InfoAdults vise à fournir à la voie verte et à la voie orange l’outil de rappel par SMS et l’écran d’information qui a engendré tant d’enthousiasme aux urgences pédiatriques. Si l‘expérience acquise lors du précédent projet a facilité la mise en place de ce nouvel outil, les contraintes spécifiques à l’environnement des ur-gences adultes ont nécessité de redévelopper une partie significative de l’outil. De plus, afin de valider formellement l’apport de l’outil envers les utilisateurs, une étude pré-post intervention est en cours au moyen d’un questionnaire distribué à plusieurs centaines de patients avant et après la mise en place de l’intervention.

 Statut du projet: terminé

Les membres de l'équipe travaillant sur ce projet

Le projet en bref

InterFACE (Interconnected and Focused mobile Applications on patients Care Environment) est un projet ambitieux sous forme d’un système intégré d’applications informatisées connexes qui vise à améliorer la communication collaborative au sein d’équipes médico-soignantes afin (1) d’améliorer la qualité des soins prodigués aux patients, (2) de réduire les erreurs médicamen-teuses, (3) d’aider à la prise de décisions médicales basées sur l’évidence, (4) d’augmenter les chances de survie des patients. A cette fin, nous installeront un écran plat en salle de réanimation, visible par tous les soignants qui permettra d’afficher diverses informations nécessaires à la bonne conduite de la réanimation et permettra à chaque soignant de visualiser en temps-réel les actes médicaux réalisés ou en cours de réalisation ainsi que les signes vitaux du patient.

 Statut du projet: en cours

Les membres de l'équipe travaillant sur ce projet

Quelque 5000 personnes à Genève vivent avec un retard mental. Aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), elles sont accueillies et traitées avec un soin particulier.

Un patient avec un retard mental, autrement dit une déficience intellectuelle n’est souvent pas capable d’exprimer ses problèmes de santé. La douleur, par exemple, est très difficile à verbaliser. Elle peut se manifester par un trouble du comportement. Pour lire et interpréter correctement ces signes, les soignants doivent disposer de compétences particulières.

Pulsations TV Mars 2017 - Handicap et soins. Une approche personnalisée aux HUG.
Quelque 5000 personnes à Genève vivent avec un retard mental. Aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), elles sont accueillies et traitées avec un soin particulier.

Un patient avec un retard mental, autrement dit une déficience intellectuelle n’est souvent pas capable d’exprimer ses problèmes de santé. La douleur, par exemple, est très difficile à verbaliser. Elle peut se manifester par un trouble du comportement. Pour lire et interpréter correctement ces signes, les soignants doivent disposer de compétences particulières.

Avec le soutien de la Fondation privée des HUG. 

Des clés pour communiquer

Quelque 5’000 personnes à Genève vivent avec un retard mental. Aux HUG, elles sont accueillies et traitées avec un soin particulier.

En 2016, un médecin référent handicap a été désigné et des formations spécifiques dispensées à 140 soignants des services des urgences et de médecine interne.

Pour faciliter la communication et anticiper sur des réactions lors de soins, des outils ont été créés comme la fiche d’admission, remplie à l’avance et éclairant les soignants sur les habitudes de vie et le mode de communication du patient. Ils changent vraiment la prise en charge de personnes en situation de handicap.

Nouveau projet d'extension

En cinq ans, la fréquentation des urgences adultes a augmenté de 17%, en particulier les urgences vitales et celles nécessitant une prise en charge dans les 20 minutes. Les locaux actuels sont devenus exigus et empêchent une prise en charge optimale.

Un projet de rénovation et d’agrandissement a été adopté en 2016 ; il vise à

• faciliter l’accès aux ambulances
• augmenter le nombre de salles d’examen pour les urgences vitales
• améliorer l’accueil et la prise en soins du patient
• apporter une meilleure ergonomie des lieux pour les collaborateurs.

Les travaux devraient débuter début 2018 et s’achever fin 2020. Le défi sera de les réaliser en maintenant l’activité.

Hausse du nombre de cas

En 2016, le nombre total des cas accueillis aux HUG dans les services d’urgences adultes et pédiatriques a progressé de 4% : il s’élève à 66’687 patients adultes et 28’348 enfants. 

Du côté de la pédiatrie, la progression approche les 5%. Elle est due à deux phénomènes :

• le recours aux urgences les soirs et week-ends par des parents qui n’ont pas de pédiatre, notamment les migrants, ou qui n’obtiennent pas de rendez-vous en ville après leurs horaires de travail
• le tri efficace et le système de rappels par SMS introduit par les HUG qui améliorent la perception de l’attente par les parents.

Une urgence toutes les 6 minutes

Nouvelle application mobile

Allô docteur mon enfant est malade est un livre rédigé par les Prof. Annick Galetto-Lacour et Alain Gervaix ; c’est également un site web et, depuis 2016, une application mobile qui détaille les maladies courantes de l’enfant et les accidents au quotidien. Elle fournit des conseils précieux et rassure les jeunes parents sur la bonne attitude à tenir face à un enfant malade afin d’éviter une consultation inutile.

 

 

  

 

 

 

Diminution des délais

Malgré cette hausse constante de l’activité, le délai de prise en charge a sensiblement baissé. Chez les adultes comme chez les enfants, les urgences les plus graves continuent d’être prises en compte quasiment sans attente. 

Aux urgences adultes, les délais se stabilisent grâce à l’élargissement des horaires des plateaux techniques, à l’ajout de boxes supplémentaires de consultation, à l’accélération des transferts dans les étages et à un tri infirmier plus rapide. Le taux de patients séjournant plus de 24h aux urgences accuse une forte baisse passant de 10.4% en 2013 à 6.5% en 2016. 

Pour améliorer encore la situation, un projet d’agrandissement des locaux a été élaboré en 2016. Il devrait se concrétiser d’ici 2020.

17'160

C’est le nombre de consultations réalisées en 2016 aux urgences gynécologiques et obstétricales de la Maternité des HUG.

433 personnes âgées

de plus de 75 ans

ont été reçues aux nouvelles urgences non vitales à l’Hôpital des Trois-Chêne entre novembre et décembre 2016.

Urgences de la plongée subaquatique 

Traitement des accidents de plongée 24h/24 et 365jrs/ an.

Pour toute demande de prise en charge, se rapprocher d’un médecin, du 144, ou des structures d’urgences qui, en fonction du problème, contactent le médecin hyperbariste de garde et décide de l’attitude thérapeutique.

Intoxications au monoxyde de carbone 

Le monoxyde de carbone est un gaz incolore et inodore qui provient d'une combustion incomplète due au manque d'oxygène au sein d'un appareil utilisant une énergie combustible (bois, charbon, gaz, essence…)

L’exposition accidentelle a ce dernier, souvent liée à une ventilation insuffisante des locaux, peut conduire à une intoxication dont les symptômes peuvent se traduire par des maux de têtes, des vertiges,des nausées, des troubles visuelsvoire une perte de connaissance.

Dans le cas d’un doute à une exposition au monoxyde de carbone, faites appel aux secours qui disposent de moyens de détection de ce dernier et vous conduiront vers la structure de soin la plus proche ou sera décidé la nécessité ou non d’un traitement hyperbare.

Urgences hospitalieres

Dans certaines situatiosn médicales bien définies, le traitement hyperbare peut être indiqué en urgence :

• La gangrène gazeuse est une infection bactérienne grave causée par un germe particulier et qui provoque un délabrement important des tissus.
• L’embolie gazeuse est définie par l’apparition de gaz dans les vaisseaux sanguins, elle est toujours d’origine accidentelle (intervention chirurgicale, traumatismes, injections...)
• La prise en charge de gelure dans le cadre du projet SOS gelures